Siège d’un nombre considérable d’échanges
cellulaires et de réactions
biochimiques, notre corps fait intervenir
une incroyable diversité de substances
totalement différentes
pourtant
compatibles et complémentaires (influx nerveux,
hormones, enzymes,
catalyseurs, oligo-éléments, vitamines, minéraux,
protéines…) dans une
parfaite cohérence de fonctionnement.
Ainsi, l’organisme abrite
différents systèmes (ostéo-articulaire, cardio-vasculaire,
lymphatique,
respiratoire, musculaire, digestif, urinaire,
immunitaire…) tous en
étroite relation
d’interdépendance et sous
contrôle des systèmes
nerveux et endocrinien qui en assure la régulation. Tout
dysfonctionnement a donc une répercussion sur les autres
systèmes,
nécessitant la considération
de l’ensemble du mécanisme de
fonctionnement de l’organisme (et qu’une approche segmentaire ne
permettrait pas d’appréhender).
De plus, nous pouvons tous témoigner à quel
point un quelconque problème physique
peut affecter le moral et donc
influencer nos états émotionnels ou mentaux ; et
vice-versa
(qui reste
impassible face à la maladie, et qui ne se rend pas malade de ses
émotions ?). Cette relation de
causes à effets (à double sens) est
également valable
d’un point de vue énergétique,
les barrages
énergétiques engendrant des maux (et
vice-versa) ; facilement
détectables par les appareils de physique quantique ou les variations
des flux magnétiques…
Puisque nous interagissons avec le monde
extérieur, les paramètres liés à notre
environnement ne
peuvent être
ignorés (climat et pollution, alimentation, coutumes et
cultures, vie
en société… dépendant de notre situation géographique).
La complexité de l’organisme
et
l’interdépendance de ses systèmes
nécessitent la considération
de
l’ensemble de l’individu
et de son environnement, ainsi
que l’ensemble
de ses composantes physiques,
émotionnelles ou énergétiques, pour
pouvoir appréhender le mécanisme de fonctionnement dans son
intégralité.