L’organisme est en perpétuel mouvement,
abritant de nombreux processus de
fabrication, à la fois de
matière
(remplacement de cellules) et d’énergie
(pour alimenter toute action).
A l’instar d’une industrie, il nécessite donc des matières
premières et
engendre des déchets ; ces derniers provenant
à
la fois des résidus des
processus de fabrication internes (toxines) et des restes
de matières
premières externes non utilisables (toxiques). Comme il vous est
nécessaire de vider régulièrement les poubelles de votre appartement,
le corps a besoin d’évacuer
cette accumulation de déchets toxiques
via
ses différents émonctoires naturels (portes d’évacuations).
Il est ainsi primordial que l’organisme
conserve des performances
d’élimination au
moins à la mesure de la
quantité des déchets à évacuer,
sous peine d’engendrer une accumulation
l’empoisonnant peu à peu de l’intérieur. Une faiblesse ou une perte
de
ces performances émonctorielles
aurait alors tendance à
créer un cercle
vicieux dans lequel les processus engendreraient à la fois plus
de
déchets et une moindre
capacité d’élimination ; provoquant une
saturation au niveau de ces
portes de sorties (foie/intestin,
reins,
poumons, peau, appareil génital), se
manifestant par des crises
curatives (crises de foie,
diarrhées, encombrement des voies
respiratoires, résurgences de
boutons d’acné ou transpiration
excessive, augmentation des
pertes blanches ou des règles, etc...).
Pour peu
qu’une médication répressive bloque cette dernière tentative
d’élimination et toute sortie s’en trouve condamnée, menant
irrémédiablement à une dégradation progressive faisant évoluer la
situation du stade aigu au stade chronique, puis jusqu’au stade
lésionnel…
Soutenir l’organisme dans le bon fonctionnement de ses fonctions d’élimination des déchets ou lui permettre d’établir des dérivations émonctorielles pour pallier l’éventuelle faiblesse de certaines portes, évite le risque d’encrassement humoral (surcharge du sang, de la lymphe et des différents liquides intra/extra cellulaires ou céphalo-rachidien) et donc d’une dégradation vers la chronicité.