A toutes les époques
a prévalu l'intuition de l'existence d'une relation directe
entre les émotions liées à un évènement traumatisant
et l'apparition simultanée d'une
pathologie grave.
Nos anciens, bien que ne pouvant l'expliquer, l'intégraient volontiers
tant dans leur mode de vie et leurs remèdes (de grands-mères) que dans
leurs propres expressions du langage; et d'en conclure par une question
de bon sens que "pour être bien dans
son corps, il faut être bien dans sa tête". La médecine "moderne", privilégiant ce qui est quantifiable (par recours à des moyens d'investigation statistiques ou technologiques toujours de plus en plus sophistiqués), s'évertue à décrire ou à (re)classifier au mieux les maladies et s'efforce d'en faire disparaître les symptômes; sans pouvoir nécessairement expliquer toute divergence avec l'évolution attendue ni les raisons de l'apparition de telle ou telle maladie. Elle reconnaît cependant, peu à peu et officiellement, qu'un certain nombre de maladies sont effectivement d'origine psychosomatique (donc d'origine psychologique), sous-entendant de facto que toutes les autres auraient une origine uniquement organique et relèveraient donc d'une médecine scientifique organiciste exclusive (qui s'en trouverait ainsi renforcée). |
|
Pourtant, et ce depuis quelques décennies, les relations entre psychisme et maladies graves constituent les thèmes récurrents de nombreux travaux scientifiques, certes peu connus du grand public, mais largement diffusés dans les publications scientifiques (à comités de relecture). Leurs conclusions mettent en évidence une corrélation psycho-cérébro-organique certaine, profondément ancrée dans le fonctionnement de l'organisme et dont l'universalité et la reproductibilité systématique témoignent de leurs racines phylogénétiques lointaines, inscrites dans notre code de comportement génétique (notion de "mémoires cellulaires"). Ces "Réponses biologiques", héritées des processus d'adaptation et de biodiversification nécessaires à la survie des espèces au fil de l'évolution, constituent des programmes archaïques de survie dont le but est d'assurer la pérennité de l'espèce puis de l'individu. La relation directe entre ces trois niveaux (psychologique, cérébral et organique) permet ainsi non seulement de comprendre la logique de mise en place de cette réponse (en rapport avec la fonctionnalité de l'organe touché et le relais cérébral impliqué) mais aussi de déterminer le ressenti psychologique déclencheur de la maladie; et donc d'offrir un moyen d'inverser naturellement le processus pour un retour à la normale. |
![]() |
Si vous consultez votre garagiste pour un pneu qui se dégonfle quotidiennement, accepteriez-vous qu'il se contente de rajouter un peu plus d'air chaque matin? Ne serait-il pas plus judicieux de rechercher la cause d'une telle fuite pour ensuite retirer le clou et colmater le trou? Utiliser votre compresseur vous permettra certes de continuer à rouler provisoirement mais le trou va jour après jour s'agrandir et nécessiter chaque fois une quantité d'air plus conséquente, jusqu'à ce que la fuite devienne tellement importante qu'elle ne puisse plus être compensée ou que le pneu se déchire soudainement. N'y voyons-nous pas une certaine analogie avec "traitement exclusif des symptômes", "médication à vie", "augmentation des doses", "chronicité", "aggravation", ...? Ce qui nous paraît inacceptable pour notre véhicule devrait aussi l'être pour notre propre santé. Peut-on sérieusement appréhender la maladie sous son angle purement physique sans s'intéresser à sa cause?
Les études le prouvent, l'état
psychologique
influence largement l'évolution
d'une pathologie. Et sans avoir même besoin de se baser sur
ces
chiffres, nous pouvons tous témoigner en ce sens, pour avoir
expérimenté
la chose personnellement ou à travers les exemples de notre entourage
familial, amical ou de simples connaissances. Combien d'exemples
avons-nous encore en tête, de ces gens qui se remettent rapidement de
leur maladie ou au contraire s'y installent en fonction de leur état
d'esprit? Pensez-vous
réellement qu'il s'agisse d'une simple
coïncidence?
Avez-vous également remarqué que l'apparition
d'une pathologie est
toujours concomitante
avec la survenue préalable d'un
évènement
particulier? N'est-ce
pas après un gros stress émotionnel que vous
ressentez, par exemple, une aigreur d'estomac ou déclarez un ulcère?
En
cherchant dans votre mémoire, vous trouverez certainement de nombreux
exemples pour lesquels vous
pressentez effectivement une relation
de cause à effets
(un deuil, un licenciement, une dispute,
une injustice,
...). Là encore, pensez-vous
qu'il s'agisse d'un hasard du calendrier?
Au même titre que pour les aspects purement physiques, l'organisme est en perpétuelle adaptation à son environnement, et doit donc gérer également tout déséquilibre émotionnel. Le stress auquel il est confronté (qu'il soit soudain ou répété, intense ou léger) engendre une réponse de l'organisme pour s'adapter à cette situation. Et lorsque l'effort d'adaptation dépasse notre capacité d'adaptation (différente selon chaque individu, en fonction de son vécu), et que cette émotion ne peut être évacuée, alors elle s'inscrit dans le corps (seul lieu de stockage disponible) en attendant de lui trouver une solution...
NON,
ce n'est pas par un mauvais
coup du hasard que la maladie s'installe ! Que vous développiez
un cancer,
une sclérose en
plaques, une fibromyalgie,
la maladie
d'Alzheimer, un diabète, etc... ou toute
autre pathologie dite "grave" (voire "incurable"), ou même une
pathologie mentale
(telle schizophrénie ou bipolarité), vous n'êtes ni
frappé
par la
fatalité ni résigné à devoir en attendre passivement une aggravation ou
une évolution fatale, bien au contraire...
OUI,
l'organisme apporte une réponse (biologique) à tout
évènement perçu comme une atteinte de son intégrité ou
mettant en jeu sa survie.
Lorsque nous sommes confrontés à une situation pour le moins
"déstabilisante" (voire "traumatisante" selon nos sensibilités
acquises) et pour laquelle il nous paraît difficile de trouver sur
l'instant une issue favorable, le cerveau passe
en mode "urgence" et lance automatiquement et
immédiatement le programme archaïque de survie
correspondant (en fonction du ressenti subjectif lié à cet évènement).
Cette réponse biologique, inscrite dans notre code de
comportement génétique et héritée de l'expérience de l'évolution de
l'espèce, a pour but d'augmenter nos chances de survie, soit en
boostant une fonction en défaut, soit en gagnant du
temps pour la rendre efficace.
On comprend mieux pourquoi les orphelins
développent effectivement les mêmes pathologies que leurs parents
adoptifs
(héritant des mêmes situations de vie) et non pas que leurs parents
biologiques (héritant pourtant du même patrimoine génétique). Une maladie
héréditaire doit donc s'entendre comme la mise en
place de réponses biologiques similaires (de par des
nuances de ressentis
proches, associées à des faits identiques) et non par une transmission
pure et simple de gênes défectueux. On peut cependant "hériter" de mémoires
cellulaires transgénérationnelles, pouvant programmer
la réponse la mieux adaptée à la descendance avec,
par exemple, une hémophilie (sang trop fluide) transmise à
toutes les filles (ou au contraire à tous les garçons) d'une famille confrontée à un décès par la maladie
bleue (sang trop épais).
Bien que le processus fasse intervenir les notions de latéralité (gaucher/droitier) selon le sexe (prédominances hémisphériques différentes chez l'homme et la femme) et l'origine embryonnaire des tissus (endodermiques, mesodermiques, ectodermiques), on pourrait simplifier à l'extrême en disant que le cerveau est incapable de différencier ce qui est réel, ce qui est virtuel, ce qui est imaginaire et ce qui est symbolique (selon les 4 étages du cerveau); engendrant la même réponse biologique selon ces différents cas de figure (avec, par exemple):
![]() |
une
situation réelle |
"J'ai avalé un morceau de plastique et
je
n'arrive pas à le digérer..." |
![]() |
une
situation virtuelle |
"Je n'arrive pas à digérer sa trahison" |
![]() |
une
situation imaginaire |
"Je n'arrive pas à digérer qu'il cherche
à me trahir" (situation pourtant non fondée) |
![]() |
une
situation symbolique |
"Je n'arrive pas à digérer (au
sens intégrer) le contenu de
cette formation" (nécessaire pour le succès de ma reconversion) |
Le problème est identique dans tous les cas (ne pas
réussir
à
digérer) et perçu inconsciemment
comme une urgence
vitale. La réponse
biologique obtenue reste également la
même dans tous les
cas (consistant à tout faire pour augmenter les
capacités
de digestion),
engendrant ainsi des maux d'origine digestifs
(dans le
cadre de cet exemple) plus ou moins important en fonction de la "masse
émotionnelle" du ressenti (dépendant de son amplitude et de sa durée),
jusqu'à provoquer ulcères
ou cancers...
Heureusement, ces réponses biologiques
constituent un processus
naturel d'adaptation, dont la mise
en place et le retrait
sont aussi soudains l'un que
l'autre
(leur vitesse d'évolution dépendant alors de l'origine embryologique
des tissus
concernés), puisque directement orchestré par notre cerveau, en
tant que solution adaptée à l'émotion source.
Bref,
en quelques sortes, il s'agit de remplacer la "psychose"
par la "psy-cause"!!!
Votre Praticien de Santé Naturopathe spécialisé en décodage, par sa compréhension
du fonctionnement
de l'organisme et surtout de la réponse
biologique mise en place, peut à la fois vous aider à identifier
l'émotion
source (de part la relation directe entre le ressenti
déclencheur et la pathologie déclenchée), et vous aider à appréhender
cette
situation sous un autre
angle... Car s'il n'est pas possible de changer un fait avéré,
vous
pouvez en modifier votre ressenti (et donc la réponse engendrée). Le travail consiste à déprogrammer la réponse proposée pour la
remplacer par une solution adaptée, provoquant ainsi
l'inversion du processus (au niveau biologique). La maladie réputée "incurable"
est donc elle aussi parfaitement réversible
!
UN même évènement subi par deux personnes entraine donc UN ou PLUSIEURS ressenti(s) très différent(s) d'un individu à l'autre; et chaque Réponse Biologique enclenche le programme archaïque de survie correspondant à ce ressenti particulier. L'impact (visible sur les scanners cérébraux) s'inscrit sur le relais cérébral correspondant (d'un des 4 étages du cerveau) et la réponse biologique se somatise sur l'unique organe contrôlé par ce relais cérébral; générant une prolifération ou ulcération cellulaire, en fonction de la nature embryologique des tissus.
Par exemple, si une femme s'aperçoit que son mari entretient des conversations téléphoniques discrètes avec une autre femme, elle pourrait imaginer que celui-ci la trompe... Cette situation traumatisante pourrait être ressentie de plusieurs manières, uniques ou cumulables, mais non exhaustives, telles que:
![]() |
Un ressenti de trahison impossible à digérer |
se traduisant par des problèmes au niveau du système digestif, du simple ulcère jusqu'au cancer, depuis les glandes salivaires jusqu'à l'anus (en passant par l'oesophage, l'estomac, la vésicule biliaire, le pancréas, l'intestin, le colon, etc... (la réponse biologique ayant pour but d'augmenter les capacités de digestion, selon la fonction appropriée de l'organe touché); |
![]() |
Un ressenti d'inquiétude pour les enfants |
ne voyant pas comment subvenir à leur besoins en cas de divorce, se traduisant par des pathologies du sein, tels cancers lobulaires ou ulcères canalaires, etc... (la réponse biologique ayant pour but de produire ou/et distribuer davantage de lait pour justement mieux les nourrir, revenant virtuellement à mieux subvenir à leurs besoins); |
![]() |
Un ressenti de dévalorisation face à la rivale |
se traduisant par des problèmes sur le système osseux, tels ostéoporoses, aplasies médullaires, leucémies, etc... (la réponse biologique ayant pour but de réduire la structure à cacher); |
![]() |
etc...etc... |
Le diagnostique pessimiste (ou le traitement lourd associé) relatif à l'une ou plusieurs de ces pathologies provoquant de nouveaux ressentis (i.e. de nouvelles inquiétudes) par effet domino, autant de nouvelles réponses pourraient se mettre en place, de façon unique ou cumulable mais non exhaustif, telles que:
![]() |
Un ressenti de peur de mourir |
se traduisant par des "métastases" aux poumons, la réponse biologique ayant pour but d'augmenter la surface d'oxygénation, l'air étant l'élément le plus indispensable à la survie; |
![]() |
Un ressenti d'écroulement de l'existence |
se traduisant par des "métastases" aux reins, la réponse biologique ayant pour but d'augmenter les capacités de réabsorbtion (tel le poisson hors de son bocal, dont la seule chance de survie est de conserver un maximum d'eau en espérant retrouver son milieu naturel, seul compatible avec sa survie); |
![]() |
Un ressenti de peur de la maladie |
se traduisant par des "métastases" au niveau du système lymphatique, la réponse biologique ayant pour but d'augmenter les capacités de filtration des ganglions; |
![]() |
etc...etc... |
Rien qu'avec ces quelques exemples, loins d'être exhaustifs et pouvant se cumuler, cette femme pourrait ainsi être concernée par pas moins de 6 cancers en même temps, tous dépendant du même évènement (justifié ou non) ayant entrainé de façon purement inconsciente autant de ressentis déclencheurs. Remarquez comment tous tomberaient en désuétude et s'inverseraient si elle découvrait finalement que son mari préparait simplement un beau cadeau d'anninversaire, avec la complicité de sa soeur...
Pour plus d'informations, voir la conférence scientifique "Ma
maladie, simple fatalité ou Réponse biologique réversible?"
dans l'onglet "Conférences"
Le Décodage Biologique s'adresse à tous, car nous sommes tous concernés par nos ressentis et les Réponses Biologiques qu'ils engendrent...
Les élixirs floraux du
Docteur Edouard
Bach (plus connus sous le nom de Fleurs de Bach),
issus de ses
propres travaux et de ceux de Hannemann
(père
de l'homéopathie), constituent un formidable outil pour mieux gérer
nos émotions, nos états d’âme, notre humeur… Leur préparation est issue
de fleurs et d'arbres ou arbustes, diluée à dose homéopathique. Les indications sont extrêmement nombreuses et couvrent le large spectre de toutes les émotions essentielles (dont voici quelques exemples): |
![]() |
![]() |
|
L’élaboration d’un complexe individualisé, adapté à chaque personne et configuration, explique un effet rapide, efficace et à long terme sur toute la sphère psychologique (avec répercussion sur l’aspect physique). Ces dilutions (à doses homéopathiques) agissent en profondeur sur les troubles aigus ou chroniques, sans contre-indication ni effet secondaire ou risque d’accoutumance. L’élaboration
d’un complexe
efficace ne s’improvise pas mais s’effectue avec l’objectif d’une réponse
ciblée de la problématique
à considérer, privilégiant une sélection
individuelle rigoureuse
et optimale (plutôt
que l’utilisation indifférenciée d’une formule à large spectre) ainsi
que le respect d’une posologie
adaptée. Cette sélection
repose sur l'identification
et le traitement
prioritaire de l'émotion source,
et non sur les émotions qu'elle induit en cascade. Les élixirs n’interfèrent pas avec les traitements
moléculaires en cours et peuvent être utilisés en parallèle…. |